Candide - Commentaire sur Le chapitre 3

de

4.5/5 (2 évaluations)

À propos de ce commentaire sur Candide

Ce commentaire littéraire propose une analyse approfondie du chapitre 3 de Candide ou l'Optimisme de Voltaire, avec le texte étudié, une mise en contexte et le commentaire en lui-même, structuré en différentes parties. Des clés pour mieux comprendre quelques-uns des enjeux essentiels de cette œuvre majeure du philosophe.

Candide est chassé du palais du baron Thunder-ten-Tronck, ignorant tout du monde extérieur et de surcroit totalement aliéné par la philosophie optimiste de son maitre à penser Pangloss. Son long et périlleux périple à travers les contrées va lui offrir l’occasion d’être confronté à la dure réalité du monde et de connaitre la cruauté et la bêtise des hommes. Enrôlé de force dans l’armée bulgare (chapitre 2), ce personnage fait ensuite l’expérience de la guerre et de l’intolérance.

Après une mise en contexte dans lequel on situe l’extrait dans l’œuvre, le commentaire composé s’intéresse aux deux thèmes essentiels du passage : la guerre et l’intolérance religieuse,  mais aussi à l’extravagance comique, qui contrebalance la gravité des thématiques évoquées. Le procès par Voltaire de la guerre et de l’intolérance religieuse est également commenté.

Structure de ce commentaire du livre

  • Texte étudié (1 pages)

    Le passage du chapitre 3 de Candide reproduit

  • Mise en contexte (1 pages)

    Quelques éclairages pour mieux aborder l'analyse de l'extrait

  • Commentaire (3 pages)

    Le texte étudié à la lumière des thèmes de la guerre, de l’intolérance religieuse et de l’extravagance comique

À propos du livre Candide

Candide est le résultat d’une dispute entre Voltaire et Rousseau. Leurs relations s’enveniment dès 1755, essentiellement à cause de leurs différences de vues sur les questions philosophiques. Les choses iront jusqu’à la dénonciation de Voltaire par Rousseau : ce dernier dénonce l’auteur de Candide comme étant à l’origine d’un pamphlet irréligieux. Les choses ne feront qu’empirer.

Publié en 1759, Candide est la réponse à la Lettre sur la Providence de Rousseau, porteuse de la doctrine optimiste dans la lignée de Leibnitz. C’est la principale portée philosophique de Candide : les discours métaphysiques n’apportent pas de réponse aux multiples formes du mal. Candide est aussi une forme aboutie du conte philosophique qui consiste en le développement d’une idée centrale sans de longues et ennuyeuses démonstrations.

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