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Ce document propose un résumé clair et détaillé Des vies d’oiseaux de Véronique Ovaldé, dont voici un extrait :
« Un soir d’octobre 1997, M. Izarra appelle la police pour signaler que des inconnus sont entrés chez eux par effraction et ont occupé leur maison pendant leur absence. Le lendemain matin, aux aurores, le lieutenant Taïbo est accueilli par le « visage lisse et très pâle, délicatement plastifié » de Mme Izarra. Le jour suivant, ce sont les Balaseca qui appellent Taïbo pour signaler que des gens se sont également installés chez eux pendant leur absence. Trois jours après, M. Fromentier appelle pour signaler que « tout a été déplacé » (27) dans sa bijouterie après que la caméra ait été obstruée avec de la crème chantilly. Sur le film de télésurveillance, on aperçoit cependant « deux silhouettes dont l’une [est] indéniablement celle d’une fille », cheveux longs et blonds, loup noir sur les yeux, fine moustache et barbichette dessinées. Le commis l’identifie comme « la silhouette de Paloma Izarra ». Taïbo rentre chez lui, mélancolique, et pense aux yeux beiges de Mme Izarra. »
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